top of page

 

On parle de fragilité : celle des êtres, celle des souvenirs, celle de la matière elle-même.

On parle aussi de mémoire. Chaque couleur utilisée a une histoire, une origine géologique ou végétale, tout comme chaque personne évoquée a son propre vécu. En liant les deux, je fais dialoguer l’intime et l’organique, le personnel et le naturel.

Et peut-être parle-t-on aussi du passage du temps, d’une forme d’impermanence.

Les visages ne sont pas figés comme une photographie ; ils vivent, changent, se transforment, tout comme ceux rencontrés sont destinés à s’effacer ou à se métamorphoser dans la mémoire.

bottom of page